LA FACE CACHEE DE LA LUNE
The Dark Side of the Moon est, selon Roger Waters, bassiste et membre fondateur des Pink Floyd, l'expression d'une empathie politique, philosophique et humanitaire.
Sorti en 1973, c’est l'album qui va faire émerger auprès du grand public un mouvement underground, une pop anglaise revendiquant ses racines européennes et puisant de nouvelles inspirations dans la musique classique et contemporaine.
Recréant ce concert mythique, la Cie Inouïe réalise en direct sur scène ce que Pink Floyd n’a jamais pu faire : les parties de synthèse sur séquenceur, à l’époque très difficiles à réaliser sur scène, sont ici créées en direct, grâce à la technologie numérique et certains nouveaux outils analogiques.
Le public peut ainsi découvrir les gestes de recherche et les outils de création utilisés par Pink Floyd, tout en appréciant la qualité exceptionnelle du son de l’époque. Un concert qui nous replonge dans l’ambiance extraordinairement créative de ce groupe emblématique.
Si je suis apparenté à la musique électroacoustique et à la musique contemporaine « savante », ma pratique de ce courant musical qui est aujourd'hui le mien prend ses racines ailleurs : ma source, c'est l'expérimentation sonore libre, autodidacte, avec des machines que l'on maitrisait avec peine dans les années 70 : les magnétophones à bandes, les synthétiseurs Moog ou EMS qui arrivaient entre nos mains. Et c'est aussi la musique pop que je jouais en tant que batteur. Ma source, c'est Pink Floyd, avec les albums Ummagumma, Meddle, et The Dark Side of the Moon. Et comme le disait Jean Jaurès, « Le courage, c'est savoir qui on est ». Ce spectacle qui marie « pop » et improvisations électroacoustiques nous permet de renouer avec les machines analogiques qui sont elles-mêmes la source de la musique concrète.
Thierry Balasse
« Au fil d’un set ponctué d’improvisations bien vues et de compositions originales de Thierry Balasse, les secrets de l’enregistrement du disque culte se révèlent. Plus qu’un concert, une expérience sonore singulière. » Télérama
The Dark Side of the Moon est, selon Roger Waters, bassiste et membre fondateur des Pink Floyd, l'expression d'une empathie politique, philosophique et humanitaire.
Sorti en 1973, c’est l'album qui va faire émerger auprès du grand public un mouvement underground, une pop anglaise revendiquant ses racines européennes et puisant de nouvelles inspirations dans la musique classique et contemporaine.
Recréant ce concert mythique, la Cie Inouïe réalise en direct sur scène ce que Pink Floyd n’a jamais pu faire : les parties de synthèse sur séquenceur, à l’époque très difficiles à réaliser sur scène, sont ici créées en direct, grâce à la technologie numérique et certains nouveaux outils analogiques.
Le public peut ainsi découvrir les gestes de recherche et les outils de création utilisés par Pink Floyd, tout en appréciant la qualité exceptionnelle du son de l’époque. Un concert qui nous replonge dans l’ambiance extraordinairement créative de ce groupe emblématique.
Si je suis apparenté à la musique électroacoustique et à la musique contemporaine « savante », ma pratique de ce courant musical qui est aujourd'hui le mien prend ses racines ailleurs : ma source, c'est l'expérimentation sonore libre, autodidacte, avec des machines que l'on maitrisait avec peine dans les années 70 : les magnétophones à bandes, les synthétiseurs Moog ou EMS qui arrivaient entre nos mains. Et c'est aussi la musique pop que je jouais en tant que batteur. Ma source, c'est Pink Floyd, avec les albums Ummagumma, Meddle, et The Dark Side of the Moon. Et comme le disait Jean Jaurès, « Le courage, c'est savoir qui on est ». Ce spectacle qui marie « pop » et improvisations électroacoustiques nous permet de renouer avec les machines analogiques qui sont elles-mêmes la source de la musique concrète.
Thierry Balasse
« Au fil d’un set ponctué d’improvisations bien vues et de compositions originales de Thierry Balasse, les secrets de l’enregistrement du disque culte se révèlent. Plus qu’un concert, une expérience sonore singulière. » Télérama