JEAN JAURES, LE MONDE SENSIBLE
« UN SON NOUVEAU, C’EST LA REVELATION D’UNE PARCELLE D’AME INCONNUE » Jean Jaurès
Cette phrase issue du mémoire de philosophie « De la réalité du monde sensible », rédigé en 1882 par Jean Jaurès suffit à expliquer le désir de faire se rencontrer l’univers philosophique et politique de cette figure contemporaine avec l’univers sonore et musical de la compagnie Inouie.
On retrouvera sur scène le trio fondamental de la compagnie, avec Thierry Balasse au synthétiseur analogique, gants larsen, basse électrique et dispositif numérique, Eric Groleau à la batterie et aux gongs, Cécile Maisonhaute au piano et synthétiseur numérique. Ils seront rejoints par Eric Lohrer à la guitare électrique et acoustique et par le comédien Benoît Marchand.
Ce dernier n’incarnera pas Jaurès, il portera son engagement politique, sa philosophie, sa poésie, comme un musicien des mots, comme un soliste porté par un quatuor électro-acoustique.
Pour autant le spectacle s’inscrira véritablement comme musical et non pas théâtral, l’idée étant de balader les oreilles des spectateurs du côté d’un expérimental très novateur (utilisation d’un système de traitement numérique très pointu), mais aussi vers une musique pop s’inspirant des années 70, vers les harmonies de Debussy ou encore vers une improvisation autour des Folies d’Espagne.
Jean Jaurès, le monde sensible s’apparentera donc à un parcours musical intemporel, riche en timbres et en influences diverses, imposant une scénographie intégrant le bruit des pas du comédien sur des écorces de cacao ou de l’ardoise, et des gongs originaux fabriqués par Michel Moglia (créateur de L’Orgue à feu), composant ainsi un système planétaire musical à part entière.
La musique jouée s’imposera rapidement comme « immersive » : une composition électroacoustique très contemporaine, sur laquelle viendront se poser le son acoustique du piano à queue, qui parfois sera traité électroniquement, la guitare électrique qui laissera parfois place à la guitare acoustique, la percussion acoustique qui, parfois amplifiée, donnera alors à entendre tout la puissance des sons naturels de l’orage ou du grondement sourd des forces telluriques.
Conjointement, le montage des textes de Jean Jaurès mettra en avant l’origine de son engagement humaniste, sa vision de l’être humain, de son rapport à la nature et au cosmos, sa vision du courage et son engagement politique.
Composition électroacoustique & conception générale de Thierry Balasse.
Benoit Marchand voix parlée et marche.
Thierry Balasse électroacoustique, ordinateur, synthétiseur, guitare basse
Eric Groleau percussions, batterie.
Eric Lohrer guitares électrique et acoustique.
Cécile Maisonhaute piano, synthétiseur et orgue.
Benoit Meurant régie générale
Corentin Schricke régie lumière

« UN SON NOUVEAU, C’EST LA REVELATION D’UNE PARCELLE D’AME INCONNUE » Jean Jaurès
Cette phrase issue du mémoire de philosophie « De la réalité du monde sensible », rédigé en 1882 par Jean Jaurès suffit à expliquer le désir de faire se rencontrer l’univers philosophique et politique de cette figure contemporaine avec l’univers sonore et musical de la compagnie Inouie.
On retrouvera sur scène le trio fondamental de la compagnie, avec Thierry Balasse au synthétiseur analogique, gants larsen, basse électrique et dispositif numérique, Eric Groleau à la batterie et aux gongs, Cécile Maisonhaute au piano et synthétiseur numérique. Ils seront rejoints par Eric Lohrer à la guitare électrique et acoustique et par le comédien Benoît Marchand.
Ce dernier n’incarnera pas Jaurès, il portera son engagement politique, sa philosophie, sa poésie, comme un musicien des mots, comme un soliste porté par un quatuor électro-acoustique.
Pour autant le spectacle s’inscrira véritablement comme musical et non pas théâtral, l’idée étant de balader les oreilles des spectateurs du côté d’un expérimental très novateur (utilisation d’un système de traitement numérique très pointu), mais aussi vers une musique pop s’inspirant des années 70, vers les harmonies de Debussy ou encore vers une improvisation autour des Folies d’Espagne.
Jean Jaurès, le monde sensible s’apparentera donc à un parcours musical intemporel, riche en timbres et en influences diverses, imposant une scénographie intégrant le bruit des pas du comédien sur des écorces de cacao ou de l’ardoise, et des gongs originaux fabriqués par Michel Moglia (créateur de L’Orgue à feu), composant ainsi un système planétaire musical à part entière.
La musique jouée s’imposera rapidement comme « immersive » : une composition électroacoustique très contemporaine, sur laquelle viendront se poser le son acoustique du piano à queue, qui parfois sera traité électroniquement, la guitare électrique qui laissera parfois place à la guitare acoustique, la percussion acoustique qui, parfois amplifiée, donnera alors à entendre tout la puissance des sons naturels de l’orage ou du grondement sourd des forces telluriques.
Conjointement, le montage des textes de Jean Jaurès mettra en avant l’origine de son engagement humaniste, sa vision de l’être humain, de son rapport à la nature et au cosmos, sa vision du courage et son engagement politique.
Composition électroacoustique & conception générale de Thierry Balasse.
Benoit Marchand voix parlée et marche.
Thierry Balasse électroacoustique, ordinateur, synthétiseur, guitare basse
Eric Groleau percussions, batterie.
Eric Lohrer guitares électrique et acoustique.
Cécile Maisonhaute piano, synthétiseur et orgue.
Benoit Meurant régie générale
Corentin Schricke régie lumière
